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27.06.2012
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Le 8 mars et la femme congolaise : Un défi

Publié le 28/02/2013 à 15:40 par mbulajoly-cri Tags : signature travail vie monde chez enfants roman femme société femmes

 

Au cours de dix dernières années, la problématique de la parité a rencontré et rencontre le champ de tous les domaines de la vie sociale (la vie politique, scientifique, économique….).

Il s’agit ici de mener une thèse et antithèse des inégalités fondamentales entre l’homme et la femme dans les attributions des fonctions de la vie sociale et ses conséquences sur le monde.

Des études ont étés menées et continuent à être menées sur la  même problématique afin de relever le défi .Des auteurs comme PETTER SON et REYANNE ont conclu dans leur démarche scientifique que dans le monde, seuls les hommes qui sont  dans une couche favorisée.

 

Pourquoi la journée de 8 mars ?

Historiquement, c’est  la résultante d’une  lutte de femmes ordinaires qui ont marqué et continuent à marquer le monde. Elle puise ses racines dans la lutte que ces  dernières ont menée depuis des siècles  pour participer dans les fonctions requises de la société sur le même pied d’égalité avec les hommes.

A titre historique, à l’époque de l’antiquité grecque, LYSISTRATA a  lancé une « grève sexuelle »contre les hommes  afin de mettre fin à la guerre ; pendant la révolution française, les parisiennes ont réclamé « la liberté, l’égalité, la fraternité »  en marchant sur Versailles pour  revendiquer  également le suffrage des femmes.

 

Les femmes de partout au monde, surtout les femmes occidentales ont commencé à manifester différemment selon leurs organisations. Il faut attendre la Résolution  de l’Assemblée Générale de l’ONUréunie en séance plénière le 16 décembre 1977 demandant à tous les pays de la planète de s’efforcer de créer des conditions favorables à l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes et à leur pleine participation, sur un pied d’égalité, au développement social (résolution 32/142) et « invite tous les États à proclamer, comme il conviendra en fonction de leurs traditions et coutumes historiques et nationales, un jour  de 8 mars de l’annéeJournée des Nations Unies pour les droits de la femme et la paix internationale.»

 

 

Le 8 mars et les défis de la femme congolaise

 

ØLa parité et l’analphabétisme

C’est un défi majeur. Dans mon pays, l’éducation scolaire est encore concentrée dans des grandes villes et cela fait que le niveau d’alphabétisme chez les femmes soit trop bas.

 

Je m’en vais vous prouver ce défi de par mon expérience vécue. Au mois de la femme de l’année 2012, j’ai eu à m’entretenir avec les filles en terme de conférence sur la même thématique de 8 mars. Dans l’auditoire j’étais devant les élèves et ainsi que les étudiantes. J’ai commencé mon intervention par  l’interrogation suivante : quel est le ministère et le nom du Ministre ayant dans ses attributions la charge de la journée de 8mars ? Et enfin, quel est le thème pour cette année ?

 

Je vous avoue que même les étudiantes n’ont pas pu répondre correctement aux questions, quand dira-t-on des femmes n’ayant pas étudié ?

 

ØLa parité et la sexualisation de la compétence de la femme

La parité devient le soubassement de la loi du moindre effort et de la facilité or depuis  toujours, la femme a été compétente, il ne restait que sa mise en valeur.

 

La femme surtout congolaise pense que la parité est une faveur pour elle d’être partout et de tout faire. C’est vrai mais il n’en reste pas moins vrai de souligner que la parité relève de la dimension compétentionnelle  s’il faut utiliser ce terme pour bien qualifier.

 

Que ça soit dans le monde du travail ou dans le monde des études, au regard  de la considération de parité par la femme, la femme surtout étudiante pense que une fois terminer ses études elle sera d’office employée même sans la moindre compétence. Cette dimension de fait pousse l’étudiante de passer pour sa réussite son sexe en échange des bonnes cottes  comme stratégie de faire. Cela nous pousse à réfléchir sur analyse «à la queue leu-leu » ce que dire qu’une fois que l’une des étudiante sort avec un enseignant, pour elle c’est une réussite totale dans ses études dans la mesure où elle sera recommandée à tous les enseignants de deux les camarades de la victime seront aussi presque toutes recommandées. Cette banalité s’exprime en ce terme « He! kolanda nga téee bo tanga na bino, naza na temps, nga naza mwasi, nakolonga kaka na cours wana, nasi na kangi yé».

 

De ce qui précède, très souvent dans nos universités nous assistons à de morts malheureuses de nos sœurs soit par l’avortement  soit par le SIDA.

 

De même dans le domaine du travail, à cause de l’emploi ou de la promotion, la femme mariée en son sexe de peur qu’elle ne gagne. Nous avons assisté et nous assistons à divorces sans précédent dans nos foyers où l’éducation des enfants est bâclée  en raison de l’absence de la maman  de la maison.

 

La parité et nos coutumes

Il est vrai que nos coutumes ont longtemps freiné l’émancipation de la femme. Bien que les sensibilisations sur son émancipation, la femme congolaise garde encore ses valeurs ancestrales notamment  le mariage comme une priorité de la femme, la procréation, la cuisine, les travaux ménagers, c’est d’abord ça.

 

Jusqu’à présent, sur  100%, nous supposons 70% des nos sœurs dont la priorité n’est pas les études, aller à l’école pour elles ce n’est qu’un conformisme mais la considération est trop mince.

 

Pour terminer, je salue l’initiative de l’actuelle Ministre ayant dans ses attributions la question du de la parité, Son Excellence Mme INAGOZI GENEVIEVE pour avoir concentré cette fois-ci la journée de 8 mars à la réflexion. Toutefois, il est responsable et civique de travailler  avec les associations par organisation des activités ayant trait à la journée en toutes langues et non d’utiliser seulement les radios et t’élevions.

 

La parité n’est  pas une faveur c’est un droit légitime de la femme. Seule la prise de conscience, la compétence et la réflexion reste la clé de voute sinon la matrice de la parité. Ce n’est pas une fête. Pour ce faire, la femme doit suffisamment  être instruite, formée et informée sur la parité.

 

Le gros du travail doit être concentré sur la sensibilisation, enseignement pour que la femme interiorise, socialise et en fasse sienne.

 

J'aime vos rémarques et suggestions.

Par MBULA Jolly, anayste des questions politiques internes et internationales.

 

Biographie et Bibliographie de l'auteur

Publié le 22/02/2013 à 16:35 par mbulajoly-cri Tags : pub congo homme france
Biographie  et Bibliographie de l'auteur

MBULA KATABA Wa KUSANDJIE Dieudonné Jolly  son vrai nom est né  à Masimango un village situant à 150 km d'Ubundu en amont du fleuve congo. Fils d'un cultivateur-tailleur. Il commence ses pas de l'école en 1993 et obtient sa licence en Science des Relations Internationalesen 2011 à l'Université de Kisangani RDC. Cet homme sera inspiré des capacités réflexionnelles de ses professeurs l'un de la France Prof MWAYILA TSHIYEMBE et l'autre de LUbumbashi KADONY NGUWAY. Localement, ses appetits scientiques seront influencés par les manières de son chef de Département CT KADIEBWA MULONDA qui ne cessait de l'encourager scientifiquement aujourd'hui Prof Dr en Relations Internationales.

 

Sa capacité d'analyse scientifique dans l'auditoir et avec ses et avec ses enseignants lui a attiré beaucoup d'estimes scientifiques.Au regard de ces merites, ses collègues d'auditoir vont le baptiser du nom d'un grand prof congolais SAMBA KAPUTO lequel reste la seule identité nomminale même dans sa famille respective.

 

Pendant son parcours universitaire, MBULA dit SAMBA sera nommé assistant fictif  par ses camarades et dans une large mesure par ses enseignants sans qu'il soit nommé. Mais il était un étudiant brillant de sa promotion.

 

C'est un leader réflexionnel dans plusieurs organisations tant apolitiquesque politiques et Cooranateur du Club de Réflexion des Internationalistes de l'Université de Kisangani( C.R.I/UNIKIS)

 

Comme publication, l'auteur a déja publié cinq articles: -les partis politiques fantomes en RDC,- la comédie accusatoire de Kagame sur le M23, -la majorité présidentielle devant son dikctat,-les principes d'intégrité territoriale et des peuples à l'autodétermination sont deux principes en débat ou en contradiction,- Qu'est-ce, la démocratie?

Du jour au jour, l'auteur peut enrichir sa bibliographie, il suffit de le lire.

Pour sa filière de recherche,c'est axer sur les politiques internes et internationales mais aussi sur le droit international.

 

MBULA, est un analyste des questions politiques internes et internationales.

Qu’est-ce, la Démocratie ?

Publié le 21/02/2013 à 09:45 par mbulajoly-cri Tags : congo solidarité vie monde homme france coeur 2010 histoire cadre

Vie de l'auteur

MBULA KATABA Dieudonné JOLLY est congolais de RDC résident dans la troisième ville du pays(Kisangani). Licencié en science des Relations Internationales de l'Université de Kisangani depuis 2011.Il évolue dans les filières de la politique internationale et aussi du droit international et analyste des questions politiques internes et internationales.C'est un chercheur indépendant dans sa carrière scientifique. Comme publications: Les partis politiques fantomes en RDC, la comédie accusatoire de Kagame sur le M23, la Majorité présidentielle devant son dicktat,les principes de l'intégrité territoriale et de l'autodérmination sont deux principes en débat ou en contraduction

 

Des opinions, des valeurs culturelles et autres sont à la base de  considérations contrariées de la démocratie.

 

Est-ce, c'est le respect des droits de l'homme?; est-ce, c'est l'égalité entre les hommes ou citoyens?; est-ce, c'est l'emploi?; est-ce, c'est la liberté?;c'est les élections?.

 

On n'en sait pas trop.

 

Selon certaines définitions,"la démocratie consiste dans l'exercice, soit direct,soit indirect,du pouvoir par le peuple.Cette organisation politique implique un état social caracterisé par les fait tous sont égaux devant la loi,que tous possèdent les memes droits.Les fonctions sont accessibles à tous;(...)les citoyens devant être appelés à la vie intellectuelle et morale,et de plus en plus en état d'exercer, d'une façon efficace et raisonnée ,la part du pouvoir qui leur est attribuée.L'Etat démocratique a  l'obligation d'instituer des oeuvres d'instruction et d'éducation,et des oeuvres de solidarité.Le régime démocratique a pour instrument le suffrage  universel et pour cadre plus particulièrement approprié la forme républicaine".

En outre, la démocratie semble, dans son principe, la façon la plus séduisante d'origine le pouvoir dans une socité.Le peuple se gouverne lui-meme ou par ses représentants et chacun , étant à la fois gouverné et gouvernant, apprend à tenir  compte de l'interet général aussi bien qu'individuel.Un tel apprentissage n'a pas été facile: il a fallu beaucoup d'approximations et échecs avant de parvenir aux démocraties actuelles.Mais, confofrontées à deux guerres mondilales et aux totalitarismes, ces construictions sont complexes et fragiles et elles se sont montrées incroyablement résilientes, peut-être parce que leur légitimité s'enrancine au plus profond des "passions du coeur de l'homme".

"Structurellement inachevée",la démocratie surprend ainsi par sa capacité à se transformer tout en restant fidèle à son ambition première. En dépit des critiques et des attaques , elle a su évoluer au gré des siècles et confronte aujourd'hui à de nouveaux défis.Polymorphe, elle diffère égaliment selon les pays dont chaque expérience nationale ou régionale est le fruit d'une histoire longue qui dépend avant tout des peuples qui l'écrivent

Pour dire vrai,ces définitions toutes incarnent le système politique idéal meilleur et humaniste.

Qui respecte la démocratie? est-ce, la france,les Etats -Unis et qui encore?

Si oui,est-ce,en France il n'ya pas des inégalités sociales et ensuite, il n'ya aps des sans et sous emplois quand bien meme aux Etats-Unis?

Si non, pourquoi? pourtant ce sont eux (France et US) qui se disent champion en démocratie, de la démacratie et dans la démocratie.

Est-ce,la démocratie,c'est alimenter les conflits armés dans le monde comme font les  pays occidentaux?

Est-ce, c'est se plier devant le verdict des urnes?

SI oui, pourquoi François Fillon n'a pas accepté la l'élection de Jean François Coppé comme Président de l'Union pour un Mouvement Populaire(UMP).

Tous ces questionnement nous laissent dans une attitude chimérique de la Démocratie.

 

La démocratie est-elle contre la paix?

 

"Quand les démocraties occidentales soutiennent et répandent la guerre et la terreur,comme en Libie ou en Syrie,avec les pires alliés que l'on pisse imaginer pour planter le drapeau drapeau de la démocratie en terres étragères."

La démocratie, c'est soutenir le Rwanda dans sa bellicosité par l'agression de la RDC?

Toutes ces questions siscitent des opinions partagées et des débats interminables.

 

Enfin, selon mon opinion, la démocratie est un système politique ambitieux mais idéal et imaginaire.

Aucun pays dans ce monde n'a fait  preuve de la démocratie selon idéal.

 

La démocratie est foulée au pied devant ses ambitions en terme des interets tant généraux que privés

Majorité présidentielle devant son dicktât

Publié le 15/02/2013 à 09:05 par mbulajoly-cri Tags : vie monde congo merci

La RDC depuis toujours souffre du non respect des textes juridiques qu’elle-même élabore. Dirigée par une autorité illégitime au regard de la loi électorale, le Gouverneur a.i de la province orientale a dépassé largement l’échéance prévue par la loi en cas soit de démission, de déchéance ou toute autre raison qui métrait en cause les fonctions du Gouverneur de Province. L’échéance de trois mois selon la loi électorale et les élections doivent être organisées après  cette échéance. Toutefois, le Gouverneur ai de ladite province a fait plus au moins une année et trois. Au vu de cette irrégularité, le gouvernement central à travers la CENI a , en effet, bien voulu légitimer l’’organe exécutif provincial par l’’organisation des élections après une longue gymnastique de mots en terme de dénonciations, de revendications par les filles et fils du pays et surtout de la province. Ces revendications ont poussé les décideurs politiques de faire quelque chose pour faire une preuve hypocrite de la démocratie. De cette observation, les élections seront organisées le 28 octobre 2012 non seulement pour l’exécutif provincial de la Province Orientale mais aussi pour l’exécutif provincial de Bas-Congo. C’est ici où le bas blesse. Cinq candidats seront dans la bataille électorale pour l’exécutif provincial de la Province Orientale . La ville de Kisangani sera totalement envahie par des affiches de candidats pour la campagne électorale comme éxige le jeu de la démocratie. De ces cinq candidats, trois candidats sont visiblement visibles dont deux de la Majorité Présidentielle (Jean DARWEZI : PPRD et John TOKOLE membre fidèle à la classe politique dirideante) un seul indépendant (Jean BAMANISA). De ces deux de la MP, un seul est accepté et soutenu avec la dernière énergie par les autorités morales de la MP, je cite Jean Pierre DARWEZI. Tandis que John TOKOLE sera désavoué par la MP, dont son parti fait partie de la MP. Bien que désavoué par son parrain politique, le candidat n’a pas cédé aux intimidations dictatoriales de la classe dirigeante actuelle. Ce candidat va justifier sa position par la phrase du Chef de l’Etat lors du 14ème sommet de la francophonie à Kinshasa face aux propos de Président français François HOLLANDE, je cite « nous pratiquons la démocratie et non par la contrainte mais la conviction ». Ce positionnement électoral des candidats dégage trois tangences fantômes : -pour le candidat de la MP, il n’est resté que l’investiture car il a été nommé par la MP, nul ne peut contredire la volonté du Chef, ce postulat nous pousse à dire sans doute que c’était une élection nominative et élective au regard des considérations de la classe politique dirigeante. -pour le candidat désavoué, son orgueil politique est ici de son pouvoir financier dont il dispose dans l’assemblée provinciale de ladite province en tant que questeur. Ce candidat exploite minutieusement la théorie del’ « Individu-Etat » dans la mesure où il parviendrait selon les informations même à payer les députés en cas de retard de payement. Cela a fait de lui un leadership politique incontestable dans le chef des députés provinciaux entant que électeurs, car une sagesse populaire qui dit je cite « On ne scie pas la branche sur laquelle on s’assoie ». En définitive, il est devenu l’Etat. De cette compréhension, il se pourrait que les Députés lui devaient chacun 15.000$, cette dette devrait d’office influencer le choix des députés en sa faveur. - Et enfin, pour le candidat indépendant, très rassurant de son leadership politique réflexionnel, très aimé par le peuple, bien que c’est vote au second degré, il dit je cite « Attendons le verdict des urnes, la population boyomaise veut voir son sien tant attendu pour le décollage de sa province ».

Très vite, le rendez-vous est à l’heure le 28/10/2012. Deux heures  plu tard, le candidat nommé selon la philosophie de l’MP, sera vite effacé sur la scène par un échec équitant et impensable de tous , occupant la 3ème position avec 25 voix après BAMANISA 27 et le candidat des députés avec un score écrasant de 42 voix.  Au regard de la loi électorale, il faut avoir réalisé 49 Voix sur 96 électeurs, et aucun candidat n’a réalisé, faut-il un second tour. Cette deuxième bataille ne va opposer que deux candidats tous indépendants trois jours après le premier tour. A l’issue du second, le candidat très aimé par le peuple, cette fois-ci les représentants des peuples vont exprimer la volonté du peuple boyomais impatiemment attendu un nouvel Exécutif provincial par suffrage valablement exprimé en faveur de Jean BAMANISA SAIDI sur qui tous et toutes boyomais placent leur confiance pour le décollage de leur province. Un vote inattendu, cela a eu trait à la démocratie dans la mesure où le grand favori du Premier tour, sans une concertation politique, sa main sera sortie dans la soupe par un échec minutieusement léger face au candidat du peuple. C’est l’envers de la médaille pour les uns car tout se former dejas les nuits en terme du gouvernement Tokole. Rappelons qu’au Bas-Congo, le candidat de la MP a aussi échoué aux élections.

De toutes ces littératures sur les élections de Gouverneurs de deux provinces citées, il ya lieu de mentionner politiquement que la Majorité Présidentielle, la classe dirigeante actuelle est devant la preuve de sa gouvernance calamiteuse étant donné que tous ses soutiens incontestables sur ses candidats se sont soldés à une désolation en raison des échecs honteux. Cela témoigne qu’elle gère non à l’intérêt supérieur de la population mais à l’intérêt de la classe politique dont elle est sa personne morale. Ces élections veulent apprendre qu’aux politiciens de la MP qu’il faut gouverner au service des peuples tant soit peu. A mon avis, je pense que la démocratie en RDC est une « Démocratie-Royale » où on doit se plier devant la volonté du chef. Merci pour nos représentants de prouver le contraire.

Tant attendu, Jean BAMANISA, Gouverneur de la province orientale, la population boyomaise a un espoir incommensurable, oubliant que ce n’est qu’un Gouverneur. Je constate tout le monde attend un changement brutal oubliant que l’élu n’est qu’’un Gouverneur de province et on lui donne des objectifs au-delà de ses compétences et moyens. Si par malheur, Jean BAMANISA ne parvient pas à réaliser ses promesses grandioses et souhaitées à 30%, ce sont les mêmes qu’ils l’ont patriotiquement, sont les mêmes qui vont le haire. Imaginer la suite de sa vie politique. MBULA Dieudonné, analyste des questions politiques internes et internationales.

MBULA Jolly analiste politique des questions internes et internationales

mbulajoly@gmail.com

COMEDIE ACCUSATOIRE DE KAGAME SUR LE M23

Publié le 18/07/2012 à 18:05 par mbulajoly-cri Tags : bonne monde amis congo

Les rapports derniers des experts des Nations- Unies sur la situation de la RDC a fait des contreverses dans les chefs des Etats de la Région de Grand lac.

 

Des ces rapports, il est clairemment dit que la présente rebellion qui sevit dans les provinces du nord et du sud kivu sous le nom M23 est soutenue par le gouvernemenent rwandais. A la réaction de ces rapports, président rwandais va ainsi déclarer "nous ne sommes absolument pas liés à tout cela. Nous ne soutenons pas le M23 et nous n’en avons pas l’intention, car nous ne savons pas ce qu’ils veulent. Ça n’aurait aucun sens d'être impliqué, car notre relation avec la RDC était très bonne. Avant que tout cela n’arrive, nous travaillons ensemble pour éliminer le problème qui existait entre les deux pays. Certaines personnes n'étaient pas contentes que nous travaillions avec les Congolais, elles tentaient de manoeuvrer contre cela". Et d’un seul coup, à cause des problèmes du Congo, cette situation s’est créée.

Cela est un problème intérieur du Congo, et un échec des autorités à résoudre leurs propres problèmes, l'éssentiel est de savoir la cause pemière de cette situation. Par ailleurs Kinshasa, qui réfute la paix en soutenant les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), rébellion hutue rwandaise opposée au régime de Paul Kagame et active dans l'est de la RDC.

De ce point de vue, le Rwande est dans son extreme puissance comme ideal de toute politique étrangère pour maximiser et assurer son intérêt national. Dans les rapports des Etats, le principe sacro saint entre les Etats il n'ya pas d'amis plutot les interets. Le Rwanda sait que la RDC n'est pas capable de le contredire.

La puissance comme la capacité de faire,de faire faire et d'interdire de faire fait à ce que le Rwanda puisse fouler au pied toutes les potentialités de la RDC en terme des ressources minières, ressource humaine...

Aucun pays du monde a stabilisé ses frontières sous le principes de bonne fois de ses voisins

 

La qualication de la RDC comme un Etat au sens sociologique du terme pose l'ambuguité étant donné que un Etat au sens sociologique doit s'assumer pour faire preuve de sa souverainté.

De ce qui précède, nous pouvons nous permettre de dire que la souveraineté de la RDC est déchue s'il faut adhérer à la thèse de BELTRAND BADIE.

J'en voudrais bien enrichire cette thèse par vos rémarques et suggestions ou encore repproches.

par MBULA DIEUDONNE JOLLY analyste des questions politiques internes et internationales

AUTODERMINATION ET INTEGRITE TERRITORIALE

Publié le 03/07/2012 à 11:52 par mbulajoly-cri Tags : lecture monde signature roman article maroc
AUTODERMINATION ET INTEGRITE TERRITORIALE

 

Cet article donne une réflexion sur l'applicabilté de ces deux principes après que les Etats aient leur indépendance: sont-ils en débat ou en contradiction?

La communauté internationale est condamnée à naviguer entre deux principes apparemment contradictoires : le droit à l’autodétermination et le respect de l’intégrité territoriale qui sont devenus un véritable Ying et Yong géopolitique.

Craignant une avalanche des revendications et des sécessions, la communauté internationale a bien prévu des garde-fous.

En ce concerne le respect de l’intégrité territoriale des Etats, cette thèse constitue une forme de contre poids au droit des peules à disposer d’eux-mêmes et au principe de l’autodétermination des peuplés colonisés. Ainsi, la Résolution 1514 adoptée le 14 décembre 1960 par l’AG/ONU rappelle que « Toute tentative visant à déduire partiellement ou totalement l’unité nationale et l’intégrité territoriale d’un pays est incompatible avec les buts de l’ONU ». De plus, la Résolution 2625 relative aux principes de doit international touchant aux relations amicales et à la coopération entre les Etats adoptée par l’AG/ONU le 24 octobre 1970.

De cette analyse, il se dégage une forme de contradiction qui existe entre ces deux principes dans la mesure où depuis les années 60, presque la quasi-totalité des Etats furent déjà indépendants et la thèse du Territoire sans Maitre a disparu.

Eu égard de ce qui précède, il faut noter à ce sujet que la coutume internationale reconnait à l’ONU le pouvoir implicite. En fait, le pouvoir implicite est un acte par lequel l’ONU a droit d’engager les actions en raison de la poursuite de la paix et de la sécurité internationales même si cette compétence ne lui est pas reconnue dans sa charte notamment par des Résolutions. Cette coutume de faire les choses par l’ONU entre dans la grille de lecture de la stabilité du monde par des résolutions de conflits de manière générale.

A ce titre, la partition du Soudan en deux nations, la déclaration unilatérale d’indépendance du Kosovo, la situation du Sarah occidental au Maroc, la péripétie du MALI pour ne citer que ça sont des exemples del’effectivité du pouvoir implicite de l’ONU.

Des nos jours, l’application de ces deux principes reste sous réserve des intérêts géopolitiques géopolitiques et géostratégiques égoïstes des Etats disposant le droit de veto.

MBULA DIEUDONNE Jolly

Pour tout contact : mbulajoly@yahoo.fr

Les partis politiques fantômes en RDC

Publié le 27/06/2012 à 18:44 par mbulajoly-cri Tags : france bonne article
Les partis politiques fantômes en RDC

Peu avant les élections présidentielles et législatives du 28 Novembre dernier, les villes de la RDC étaient en totale cadence des installations des partis politiques de façon exponentielle.

De cette thèse, les propriétaires des immeubles ont fait une bonne affaire financière en raison de location de leurs maisons par des partis politiques.

Pendant la campagne à la bataille électorale nous avons assisté à la mobilisation des partis, lesquels partis, d’autres n’avaient ni le nom ni la base ni l’idéologie politique à intégrer. A force d’analyser le fait, il convient signaler que  la plupart de ces partis combattaient en faveur des hommes qui ont depuis toujours le pouvoir . Cette bataille fut motivée au départ par la récompense de tous leaders de ces partis en cas de la pagnote de pouvoir.

Quelques temps plu tard après les élections, ces partis nous paraissent disparu devant notre champ visuel politique.

Sous le bénéfice de cette analyse , il sied de noter à ce sujet que ces partis politiques ont été créés sous l’impulsion et recrutés sur base et surtout ethnique afin de faire passer les leurs au pouvoir .

Surpris dans la formation du gouvernement actuel de MATATA, il semble que les leaders de ces partis ne sont pas beaucoup représentés tel qu’on pouvait le croire. Ne pas représenter, ces partis ne parviennent premièrement pas à payer le loyer, de deux ils ne savent plus mobiliser les militants nourris par de promesses incommensurables mais déçus de la réalité …. Et enfin , ils  se réduisent en mutualité des énnemis du pouvoir actuel.

S'il faut les récompense tous, on aurait combien de ministres? C'est ici le bas-blaisse

Au regard ce fait , tous ces partis sont en route de disparition, et nous les qualifions des «  partis politiques fantômes ». Ils semblent oublier que le parti politique a pour rôle traditionnel la conquête du pouvoir pour toujours et à jamais.

Un parti politique qui se veut poliquetique politique doit avoir trois catégories des leaders: -leader politique réflexionnel,-leader politique financier et enfin, -leader polique populaire.Cette qualification fera l'objet d'un autre article afin de bien comprendre celles-ci

Términons par cette interrogation : plus de 17 ans en France le parti socialiste ne gagnait pas le pouvoir ,est ce, a-t-il renoncé ?

Pour créer un parti politique , il faut au départ une idéologie à défendre et aussi des leaders cités ci-haut

MBULA DIEUDONNE JOLLY , l’Internationaliste